" Une basse immuable et obsédante de cordes et de flûtes, les voix qui scandent, une à une, le mot Crucifixus. Une tonalité en mi mineur lancinante, jusqu’à l’éclairage magnifique, à la dernière mesure, du sol majeur.
La pulsation de la mort. Il voulait que ses trois martyrs exécutent leur devoir au diapason de ce rythme obsédant. Trois minutes longues comme l’éternité.
Après la crucifixion, la joie de la résurrection.
Tout était prêt."
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